Renée Condo a choisi de travailler le bois, qu’elle taille pour lui donner l’apparence d’une perle, une forme qu’elle n’a pas choisie au hasard : « Si on la regarde de profil, c’est une seule unité, et si on la regarde de face, c’est comme un rond, une forme infinie. […] Puis en plus, on a un historique riche avec le perlage, les communautés autochtones. »

Vernissage : jeudi 19 février de 17 h à 19 h

Entrée libre

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