Sans danger pour la santé

À la demande de la Ville, la Direction régionale de santé publique du CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal a étudié les risques liés à l’installation de l’éclairage de rue aux DEL. Le rapport conclut que « le projet de conversion ne constitue pas un risque pour la santé de la population ».

Sans risque liés à  la cybersécurité et à la confidentialité

Le système qui contrôle les lampadaires DEL ne permet pas de surveiller les citoyens, ni les réseaux informatiques ou les activités privées. Le système n’enregistre pas non plus de vidéos.

Ce système permet uniquement de surveiller et de contrôler le fonctionnement des luminaires, leur consommation d’énergie et leur niveau d’intensité. 

Limiter les impacts sur l’environnement

Des études démontrent que l’éclairage DEL, comme tout autre éclairage, a un impact négatif sur certaines espèces d’animaux, dont des tortues, des chauves-souris et des insectes.

Pour protéger ces espèces, la Ville a répertorié les milieux écologiques sensibles et y a installé un éclairage beaucoup plus jaune. Cet éclairage respecte les exigences de la norme québécoise sur le contrôle de la pollution lumineuse.

Par ailleurs, dans certains milieux naturels, comme les parcs-nature, l’éclairage artificiel est déjà limité : seuls les aires d’accueil des bâtiments, les stationnements, les installations d’entretien et certaines voies véhiculaires sont éclairés.

Pour l’éclairage public, la Ville a adopté plusieurs actions contre la pollution lumineuse, notamment en privilégiant l’utilisation de luminaires de type « ciel noir » et en diminuant des niveaux d’éclairage dans les espaces publics.