Prix Pierre-Ayot et Prix Louis-Comtois : édition 2024
Les Prix Pierre-Ayot et Louis-Comtois récompensent l’excellence en arts visuels. La Ville décerne ces distinctions conjointement avec l’Association des galeries d’art contemporain (AGAC).
Prix Pierre-Ayot
Doté d’une bourse de 5 000 $, ce Prix est attribué à une ou un artiste en arts visuels ayant moins de 10 ans de pratique professionnelle.
La lauréate
Fatine-Violette Sabiri
La pratique photographique de Fatine-Violette Sabiri conjugue les images documentaires, les portraits et les photos de mode. Son travail, autobiographique et intuitif, entremêle les récits personnels et les rencontres avec certaines communautés, lieux et objets de son environnement immédiat.
Les finalistes
Laïla Mestari
À travers sa pratique interdisciplinaire, Laïla Mestari explore les enjeux liés à l’identité culturelle et au déracinement. Le dessin, les textiles, l’installation vidéo et la marqueterie lui permettent de traduire son histoire familiale en articulant son héritage visuel maghrébin et québécois en de nouveaux assemblages hybrides.
Crédit photo : Mike Evariste
Michaëlle Sergile
À partir d’archives de la période postcoloniale, Michaëlle Sergile utilise le médium du tissage pour comprendre et réécrire l’histoire des communautés noires, et plus précisément celle des femmes afrodescendantes. Ce médium lui permet d’interroger les rapports de domination liés au genre et à l’appartenance ethnique.
Crédit photo : Vladim Vilain
Le Prix Pierre-Ayot est présenté en collaboration avec l’Association des galeries d’art contemporain (AGAC).
Prix Louis-Comtois
Doté d’une bourse de 7 500 $, ce Prix reconnaît une ou un artiste qui se distingue depuis les 15 dernières années. Il souligne la qualité de sa production dans le domaine de l’art contemporain à Montréal.
Le lauréat
Yann Pocreau
Yann Pocreau s’intéresse à la lumière et sa matérialité, à ce qu’elle sait ou informe ainsi qu’aux affects qu’elle convoque. Réfléchissant à l’apport narratif de la lumière, à la lecture qu’on fait des images et à l’histoire de la photographie, sa pratique se déploie à travers plusieurs médiums, dont l’image, la sculpture et l’installation.
Les finalistes
Kelly Jazvac
Kelly Jazvac (en anglais) réalise des œuvres d’art à partir de déchets plastiques provenant de l’industrie de la publicité. Par sa pratique artistique, elle souhaite établir un lien entre l’environnement et les preuves présentes dans ces matériaux, c’est-à-dire certains comportements et attitudes propres à l’humain qui sont à l’origine de la crise climatique. Ces preuves sont représentées, symbolisées et physiquement intégrées dans les photographies trouvées qui constituent la majeure partie de sa pratique.
Crédit photo : Alexandre Meloyan
Joseph Tisiga
La pratique multidisciplinaire de Joseph Tisiga, bien qu’ancrée dans la peinture et le dessin, intègre également des éléments de performance, de photographie, de sculpture et d’installation. Son travail interroge les notions d’identité et ce qui y contribue – la communauté, la nationalité, la famille, l’histoire, le lieu et les souvenirs réels ou imaginés.
Crédit photo : Alistair Maitland
Le Prix Louis-Comtois est présenté en collaboration avec l’Association des galeries d’art contemporain (AGAC).
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